One Last Breath – Un dernier espoir !

Version testée : PC
Plates-formes disponibles : Xbox One, Xbox Series, PS4, PS5, Switch et PC
Genre : Aventure, Plates-Formes
Prix conseillé : 17,99€
Date de sortie : 28 mars 2024
Studio / Editeur : Moonatic Studios et Maniac Panda Games / Catness Game Studios
Clé fournie par l'éditeur, merci à eux !

J'ai toujours été attiré par les jeux d'aventure en 2,5D comme Limbo ou Inside. One Last Breath raconte en plus l'histoire d'un monde qui va mal et qui est sur le point d'être détruit, mais la nature n'a pas dit son dernier mot. Forcément quand l'intrigue parle d'espoir et de réparer ce que l'être humain fait de notre planète, j'ai envie d'en découvrir plus !

Gaia a été créée pour sauver la planète d'une destruction prochaine, elle est conçue par le dernier souffle de vie de Mère Nature comme un dernier espoir pour sauver la planète. L'humanité, quant à elle, a été complètement anéantie par des années de pollution et de surexploitation de la planète. Des monstres difformes remplacent désormais l'être humain. Pourquoi ? Comment ? Ce sont les principales questions qui se poseront au lancement du titre.

A l'instar de Limbo, le titre n'a aucun dialogue, aucun texte et chacun sera libre de déduire ce qu'il veut des événements se déroulant tout au long de l'aventure qui amène l'héroïne à parcourir des étendues désolées, des usines abandonnées, mais où l'électricité fonctionne toujours. Plusieurs énigmes et pièges se placeront sur son chemin en quête de rédemption. Gaia n'a aucun moyen de défense et la fuite sera la seule solution pour ne pas périr entre les mains des êtres qui peuplent désormais la terre. Elle a malgré tout le pouvoir de faire sortir et entrer des ronces de la terre, permettant de construire des ponts ou de libérer les voies pour pouvoir avancer dans sa quête.

Le voyage ne sera pas très long et environ 2h30 suffiront à arriver au bout de l'histoire à un rythme tranquille et en bloquant sur un long saut qui demande un timing plutôt serré. Malgré cette très courte durée de vie, il sera possible de débloquer une deuxième fin en récupérant un artefact à chaque niveau. Avec une attention particulière, ces derniers ne sont pas compliqués à repérer et demanderont en général de trouver un chemin secondaire.

Le design du jeu est très soigné et l'ambiance sonore permet de se plonger dans l'intrigue. Le jeu est jouable aussi bien au contrôleur qu'au combo clavier/souris. Mais pour ma part j'ai préféré utiliser une manette qui assure un meilleur confort de jeu. Les monstres ne seront pas les seuls habitants de la planète et Gaia pourra croiser plusieurs animaux tout au long, parfois avec une once d'espoir, mais bien plus souvent avec un déchirement.

One Last Breath est court, trop court et c'est très certainement la seule chose qu'on peut lui reprocher. Le titre laisse à réfléchir sur ce que la planète devient et ce qu'on laissera aux générations futures. Malgré le monde post-apocalyptique qu'il nous dépeint, il nous apporte également une note d'espoir et alerte sur ce que le délaissement écologique pourrait entraîner ! Un beau message d'espoir en ressort et ça fait du bien !

Points forts	Points faibles
Graphismes soignés	Une courte durée de vie
Un scénario intriguant
Une thématique importante
Une jouabilité accessible

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J'ai apprécié parcourir le monde de One Last Breath, mais je suis resté sur ma faim, j'aurais aimé avoir plus de puzzles, plus d'énigmes et pouvoir mieux comprendre les tenants et aboutissants de l'histoire.