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PGW 2018 – THQ Nordic

THQ Nordic présentait 3 jeux à l'occasion de la Paris Games Week :


 

Generation Zero

Lors de la soirée de lancement de la Paris Games Week, après avoir rencontré le Game Director de Just Cause 4, nous avons enchaîné avec un second jeu d'Avalanche Studios, Generation Zero, un shooter développé par une équipe d'une trentaine de personnes qui a l'avantage de profiter des développements de Just Cause 4, car il tourne grâce au même nouveau moteur de jeu interne, Apex. Petite anecdote : le jeu est né de la vision de deux personnes du studio, toutes deux originaires de Suède, une idée qu'ils ont portée avec passion jusqu'à aujourd'hui. Nous nous situons donc dans la campagne suédoise qui se trouve envahie par des monstres mécaniques :

Jeu d’action en monde-ouvert, l’équilibre a été trouvé afin de proposer une expérience « intermédiaire » entre infiltration et action. Ainsi, sans être un jeu où tout s’accomplit en camouflage, ce n’en est pas pour autant un jeu où il est possible de tirer à tout va et foncer dans le tas. Les combats sont tactiques et demandent de la réflexion, sous peine de mourir. De ce que j’ai pu en juger lors de ma brève session, la jouabilité est excellente, avec une bonne précision des mécanismes de tir. Les graphismes sont très bien rendus, avec de superbes paysages qui sont impactés par un cycle jour/nuit au temps imprévisible.

La campagne se joue à 4 joueurs au maximum en coopération. Un joueur peut tout à fait débuter sa partie en solo, continuer sa progression avec ses amis, avant de retourner jouer de son côté de façon tout à fait transparente. L’histoire emmènera découvrir ce qui arrive à ce monde qui sombre dans la violence, attaqué par d’étranges créatures qui ne sont pas sans nous rappeler les monstres de Black Mirror. Notre héros venant de revenir d’un voyage, il n’a aucune idée de ce qu’il se passe réellement.

La progression s’accomplit à travers 4 arbres de talents, dans lesquels il faut investir des points avec sagesse, car il n’est pas possible de tout prendre.

Jeu à acheter, Generation Zero aura du contenu au-delà du lancement, mais il ne faut pas s’inquiéter, il n'est pas prévu de coffres ou autres lootboxes, l’intégralité de l’équipement se trouvant en jeu, sans microtransactions.

Venant tout juste de terminer une bêta, l’équipe de Generation Zero est actuellement en train de décompiler tous les retours des joueurs. Il est encore trop tôt pour dire si une autre session sera organisée, mais restez à l’écoute de leurs médias sociaux si le jeu vous intéresse, notamment pour une date de sortie, qui devrait être pour l’année prochaine.

https://generationzero.com


 

Darksiders III

La célèbre licence revient le 27 novembre dans un immense monde ouvert non instancié, avec des combats qui s’annoncent plus difficiles encore que dans le I et le II, même si la difficulté se paramètre en quatre niveaux, du plus facile au plus tyrannique. Sur la démo du stand, nous avons testé une petite excursion dans le monde jusqu’à rencontrer un boss, Envie, l’un des sept péchés capitaux que notre nouveau Cavalier de l’Apocalypse, Furie, doit combattre (Colère et Paresse sont les deux autres déjà annoncés).

Même en normal, les dégâts sont importants, le boss enchaînant des attaques au sol, des vagues autour de lui et des dégâts ciblés, avec une phase plateforme minutée durant laquelle il faut réussir à grimper en utilisant le double saut et son fouet comme d’un balancier, afin de frapper le boss et de le faire redescendre pour une phase de burst. Il est primordial d’être ultra réactif pour réagir à ses attaques qui viennent en cycle : sauter, esquiver, reculer... En cas de raté, notre personnage possède un objet capable de remonter la vie, mais un seul avant la mort inéluctable.

La progression s’accomplit grâce aux niveaux gagnés qui débloquent des points d’attributs à utiliser dans des compétences, mais nous n’avions aucun point à investir, donc impossible pour moi d’en dire beaucoup plus. Il n’y a a priori pas d’équipement ou de personnalisation du personnage, tout se base sur plusieurs formes, qui se débloqueront en jouant et impactent le gameplay (et notamment l’arme que porte Furie), chaque forme arrivant avec différentes apparences (l’une d’elles est d’ailleurs à récupérer en précommandant le jeu).

L’histoire continue la trame du 1 et du 2, avec des événements qui se passent en parallèle aux autres opus : Furie, également Cavalier de l’Apocalypse, est envoyée sur Terre afin de régler le problème des pêchés primordiaux, un défi qu’elle doit relever pour montrer qu’elle est la plus puissante des Cavaliers (pour ceux qui l’ignorent, le protagoniste du I était Guerre, celui du II était Mort, deux autres Cavaliers). Mais il est tout à fait possible de débuter directement par ce troisième opus, il n’y aura que de petits clins d’œil aux précédents, des lieux, des PNJ...

Le jeu est actuellement en précommande depuis le site avant sa sortie le mois prochain :

https://darksiders.com/


 

Fade to Silence

Dans un monde post-apocalyptique où l’humanité est revenue à un niveau de vie simple suite à un bouleversement climatique, nous incarnons Ash, un explorateur qui se trouve lié à une étrange entité. Cette voix intérieure est très négative, elle le tire continuellement vers le bas, mais c’est également elle qui le ramènera à la vie en cas d’accident. Notre personnage débute avec 7 flammes et chaque mort consume l’une de ces flammes. Une fois les flammes arrivées à zéro, c’est une mort permanente : Ash perd tout, sauf ses points de compétences principaux qui subsistent.

Lorsque nous débutons notre partie, Ash est perdu au milieu d’un blizzard impitoyable. Pour faire face, nous avons fort heureusement dans nos sacs de quoi créer un abri temporaire où notre personnage dort quelques heures. Durant ce moment de repos, une cinématique en 2D livre un fragment d’histoire qui explique pourquoi le monde se trouve dans cet état glacial.

Lorsqu’Ash se réveille, le blizzard est levé, mais la neige s’est désormais installée, ce qui pose des soucis, car les ressources sont désormais cachées sous le manteau blanc, ce qui les rend encore plus difficiles à trouver, d’autant plus qu’elles ne réapparaissent pas une fois ramassées, et se rarifient donc au fur et à mesure de la partie. La récolte est primordiale à l’objectif principal du titre : survivre face à la nature redevenue sauvage dans un premier temps, mais également face aux monstres qui rôdent et n’hésitent pas à attaquer à vue. Le combat n’est pas une priorité, fuir reste une option et est même préférable dans la plupart des cas. Pour aller plus vite dans ce gigantesque monde, il existe des traîneaux tirés par des chiens, ainsi que des téléporteurs qui relient tous les avant-postes.

Des survivants tentent également de leur côté de survivre et rejoignent le camp de notre personnage une fois retrouvés, ce qui débloque une phase de gestion, avec des partisans qui partent en expédition pour chasser, collecter ou construire des bâtiments. Ainsi, un véritable village se crée, avec des maisons et la possibilité d’ériger des défenses pour se protéger des monstres dans une vue qui passent alors en vue du dessus.

Vraiment prometteur du peu que j’ai vu, un titre survie/exploration qui se place dans un vaste monde à la météo capricieuse. Le jeu est actuellement en accès anticipé, pour une sortie prévue début de l’année prochaine :



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