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Gamescom 2022 – Steelrising

J'attendais avec impatience l'occasion de jouer à Steelrising, le nouveau projet du studio Spiders (les créateurs de GreedFall). Mon meeting s'est déroulé à 10h00, le jeudi matin, dans l'espace presse de Nacon (l'éditeur). Et, au même moment, la bêta fermée s'ouvrait aux joueurs du monde entier. J'ai donc vécu en direct ce moment avec les développeurs, collés à leurs téléphones, alors qu'ils scrutaient le web, à voir les premiers streams se lancer... et aussi les premiers retours être publiés. Bien sûr, je jouais en même temps, et ils se sont rendus disponibles pour m'aider à progresser et pour répondre à toutes mes questions. Mais j'ai vraiment apprécié de partager ce moment ô combien stressant avec eux.

L'histoire de Steelrising embarque dans une uchronie de la Révolution française, dans une version de notre passé où la cour de France accueillerait des automates. Quand le peuple menace de se soulever en 1789, le roi Louis XVI ordonne de tous les transformer en machines de guerre. Cette transformation est malheureusement ce qui arrive à l'héroïne, Aegis, autrefois une ballerine, qui se retrouve plongée dans une guerre civile meurtrière. Quatre spécialités sont possibles pour elle : alchimiste, danseuse, soldate et garde. J'ai opté pour la seconde, plus fidèle à son passé. Plus adaptée aussi à mon style de jeu, moi qui aime jouer des combattants rapides en mêlée.

Souls-like assumé, plusieurs options existent néanmoins pour évaluer la difficulté de la partie et s'adapter à chaque joueur. Au-delà des habituels paliers, des jauges spécifiques permettent de paramétrer dans le détail des élément comme les dégâts encaissés ou la régénération de l'endurance.

Je débarque dans des jardins du palais, et je me promène. Des ennemis ne tardent pas à m'attaquer, d'autres automates, comme moi, et je suis bien contente d'avoir opté pour la simplicité, car je commence déjà à encaisser des dégâts non négligeables. La découverte d'un coffre caché est l'occasion de parler de l'équipement de l'héroïne, qui se fait via quatre emplacements : chapeau, veste, pantalon et bottes. Je ne peux m'empêcher de sourire quand je récupère des potions de vie qui, bien sûr, sont appelées ici des "burettes". On aura compris que l'ensemble du vocabulaire habituel est adapté à la nature robotique de l'héroïne.

Plus loin, j'active un point de passage, appelé Vestale. C'est d'ici que je peux modifier sa configuration. En effet, elle profite de diverses améliorations, des patchs qui s'installent directement dans sa colonne vertébrale et qui lui offrent des bonus non négligeables. Attention cependant, s'installer sur une de ces stations permet certes d'enregistrer sa partie et d'accéder à un marchand, mais cela fait aussi réapparaître tous les ennemis. À utiliser avec parcimonie, donc !

Profitant d'un univers aux graphismes d'une rare qualité et d'une jouabilité irréprochable, Steelrising est sans nul doute le jeu qui risque de marquer cette rentrée 2022, la sortie étant prévue pour le 8 septembre (jeudi prochain). Il est bien sûr toujours aussi difficile de vraiment jauger en une vingtaine de minutes, mais je peux déjà dire que je n'ai pas vu le temps passer, que je n'ai pas rencontré de bugs, et que le monde est aussi beau que je m'y attendais. J'aurais réellement aimé rester en compagnie d'Aegis plus longtemps...

Et ça tombe bien car, comme je le disais en intro, la bêta est déjà jouable si vous pré-commandez le jeu. Vous pouvez notamment passer par notre partenaire Gamesplanet, qui propose l'édition Standard à 42,49€ et l'édition Bastille à 50,99€. Cette dernière inclut un DLC avec une nouvelle zone, de nouveaux personnages, ennemis, boss, armes, et des tenues en plus encore. Ou sinon, directement sur Steam :



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