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The Planet Crafter – Toxicity – Contre la pollution

Version testée : Steam
Plates-formes disponibles : PC (Steam)
Genre : exploration et survie
Prix conseillé : 9,99€ (DLC) + 23,99€ (jeu de base)
Date de sortie : 17 novembre 2025 (DLC)
Studio / Editeur : Miju Games
Clé fournie par l'éditeur, merci à eux !

The Planet Crafter a été l'un de mes jeux préférés de 2025. Je ne l'attendais pas. Pour vous dire, je l'avais même raté lors de sa sortie en 2024. Il était dans ma longue liste de jeux à tester... un jour... plus tard.

Puis, après l'enchaînement de début d'année, où j'avais d'abord énormément joué à Kingdom Come: Deliverance II, puis enchaîné avec Dune Awakening, j'ai eu le malheur de le lancer... et j'ai mis le doigt dans l'engrenage.

Je cumule aujourd'hui 165 heures de jeu, toutes passées sur la même partie. J'ai débuté par Prime, la planète principale, avant de m'envoler vers Humble, Selenea, et de terminer sur Aqualis. J'ai rassemblé toutes les combinaisons, les graines de plantes, les pousses d'arbres, les poissons et les grenouilles. Il ne me reste que les papillons.

Autant dire que j'avais très hâte que sorte ce nouveau DLC, Toxicity !

Le concept est ici différent. Enfin, en partie. Il faudra toujours terraformer la planète, en installant les habituelles machines pour augmenter la chaleur, la pression et l'oxygène. Mais le DLC oblige à repartir de zéro car les tiers supérieurs sont verrouillés au début. Pas que ça fasse une différence, j'avais prévu de ne pas aller trop vite, et je ne voulais pas passer au T5 d'entrée, comme je l'avais fait sur les autres lunes, mais pas le choix !

Un second facteur entre en ligne de compte : la toxicité de la planète, avec une série de purificateurs pour la réduire. Ils arrivent en plusieurs tiers, comme les foreurs, les chauffages et les végétubes.

Il y a aussi une station d'artisanat pour fabriquer les objets liés aux substances toxiques, avec des recettes pour raffiner les matières premières, et créer deux nouvelles puces, afin de nettoyer les matières toxiques plus rapidement, et obtenir des informations sur les zones toxiques (le dernier niveau est bien pratique, affichant la distance de la tache la plus proche).

Il existe aussi un filtre à toxines, pour rester encore plus longtemps dans les zones polluées !

Pour revenir du côté des bâtiments, on trouve ensuite des appareils de détoxification, un peu sur le modèle de ce qu'on avait sur ... je crois que c'était Humble avec le brise-minerai. On met des choses dans l'armoire de gauche, ça se transforme à un rythme régulier, et ça réapparaît dans l'armoire de droite. Beaucoup d'espaces à explorer, et de matières à ramasser, pour changer l'eau toxique (récupérée par les collecteurs) en eau purifiée, les spores toxiques en microplastiques et les substances gluantes toxiques en dioxydes de chlore.

Tout ça se récupère en explorant la planète. L'eau.. eh bien elle est dans les lacs ! Les spores sont un peu partout, et les substances gluantes dans l'une des trente-deux zones à nettoyer.

J'ai été impressionnée par la taille de la planète, il m'a fallu presque vingt heures pour trouver toutes les zones et la purifier. En sachant que je suis encore loin d'avoir atteint le palier de 1000 GPu, qui débloque la graine d'arbre unique de la planète (Detoxo).

Parmi les objectifs notables, l'indice de terraformation doit atteindre les 350 GTi pour obtenir la recette du fusible multiplicateur de purification et le champignon immaculé (un composant utile à pas mal de recettes spécifiques). Il y a aussi une grenouille à 100 kt de biomasse (la Toxifia), et l'eau purifiée à 120 t d'animaux.

En sachant que la terraformation se termine à 6.5 TTi, plaçant Toxicity parmi les plus longues à finir (au niveau d'Aqualis qui est le plus haut, à 7 TTi).

J'ai aussi eu la surprise de trouver une micropuce pour l'exosquelette T5, je peux désormais équiper 24 objets (bon je n'en ai trouvé que 18, mais qui sait, ça servira peut être dans le futur).

L'environnement de la planète est au niveau des autres zones, voire un peu plus joli.

J'ai adoré la végétation qui recouvre une grosse partie de la surface, et qui apparaît plutôt vite. Le changement est aussi très visible dans les zones polluées, où une sorte de "voile" se lève une fois qu'elles sont purifiées. L'eau change de teinte également au fur et à mesure des toxines extraites, terminant en un joli bleu !

Une petite histoire est distillée à travers les messages, sur le modèle des autres planètes. Car oui, des habitants ont essayé de survivre par le passé à la surface, et ça ne s'est pas super bien terminé pour eux.

Mon seul regret : il n'y a toujours aucune façon de créer le dernier quartz, le violet !

Points forts Points faibles
Un DLC avec beaucoup de choses à faire Pas de recette pour le quartz violet
De nouvelles machines

Le meilleur DLC que j'ai testé de The Planet Crafter, avec une grande zone et de l'artisanat inédit qui m'a redonné envie de jouer une bonne semaine... ou deux.

J'adore toujours autant. À quand la suite ?



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