PGW 2025 – Escape from Tarkov
Quand j'ai regardé les ressources que j'avais sur ce jeu, j'ai retrouvé dans ma boite email une invitation à la bêta fermée qui datait de 2017... Autant dire qu'il est depuis un moment sur le marché ! Mais il ne sera officiellement lancé que prochainement, le 15 novembre 2025.
À l'occasion de la Paris Games Week, j'ai été invitée à tester l'un des derniers niveaux du mode histoire, durant lequel notre personnage, privé de tout équipement, se retrouve coincé entre deux feux, obligé de se frayer un chemin semé d'embûche hors de la zone.
Pour vous résumer rapidement l'histoire, nous nous trouvons dans la ville fictive de Tarkov, en pleine zone de conflit entre deux factions militaires privées : USEC et BEAR. Un blocus international a isolé la ville, désormais livrée aux milices locales.
Au milieu de ce chaos, nous incarnons un mercenaire tentant de survivre et de s’échapper de cette métropole dévastée, en récupérant des ressources, de l’équipement et des informations. Et justement, alors que la fin approche, de nombreuses questions se posent encore, notamment sur ce qui se trame sous les bombes.
Affaire à suivre !



Forcément, ce fragment du scénario final, est jouable après des heures et des heures de missions plus tendues les unes que les autres. Du coup, la difficulté est extrême... et je n'ai pas survécu longtemps.
Rien n'est fait pour faciliter la survie. Notre personnage est désarmé, sa vie n'est pas affichée au niveau de l'interface, et les ennemis sont difficiles à distinguer des alliés.
Difficile donc de statuer, après mon expérience assez limitée, où j'ai dû voir par quatre ou cinq fois la cinématique durant laquelle notre personnage se fait dépouiller de son équipement, puis mené dans une salle. S'ensuit une attaque massive, et il est possible de s'échapper en profitant de la confusion.
Et puis c'est la fin !



Le cœur du gameplay repose sur un système d’extraction réaliste, où chaque sortie en mission (appelée « raid ») comporte des enjeux très concrets : la mort entraîne la perte définitive de tout le matériel emporté, sauf si celui-ci a été assuré.
Le niveau de simulation est poussé au maximum : balistique authentique, gestion de la fatigue, des blessures, du son et de la visibilité. La moindre balle, le moindre pas ou bruit peuvent faire la différence entre la survie et l’échec. En parallèle de ses mécaniques brutales, Escape from Tarkov s'appuie sur sa communauté. Entre deux raids, notre personnage gère sa planque, d'où échanger des objets et améliorer son équipement.
Rendez-vous le 14 novembre si vous n'avez pas peur de prendre une balle perdue ! Plus d'infos sur escapefromtarkov.com.
À savoir qu'il existe une version moins brutale du jeu, si vous préférez : Escape from Tarkov: Arena.








