Gamescom 2018 – SoulWorker
Gameforge nous a proposé de passer sur son stand pour découvrir son MMO animé, SoulWorker, en compagnie d'une petite partie de l'équipe de développement. C'est donc autour d'un ordinateur, avec le jeu installé et le personnage Haru au niveau maximum, que nous avons fait le tour des fonctionnalités de ce jeu que je ne connaissais jusqu'à présent que via les communiqués de presse et un article de Kathlyn datant d'avril, que je vous invite d'ailleurs à relire si vous désirez en découvrir plus sur son expérience : un MMORPG de plus chez Gameforge.
Lancé depuis le début de l'année en Europe, SoulWorker propose déjà un contenu plus qu'honorable avec 6 différents personnages jouables, tous autonomes (sans réellement d'archétypes liés à l'habituelle trinité tank/heal/DPS) aux dialogues différents lors des quêtes (chacun ne réagit pas de façon similaire aux événements), des raids et une centaine de donjons pour un à quatre joueurs en trois modes de difficulté. Il y a même un mode de jeu JcJ spécialement créé pour la version occidentale du jeu bien que le titre reste avant tout orienté JcE.
Le 6 septembre, une grosse mise à jour de contenu va chambouler le monde actuel, à l'occasion d'un gros patch de contenu qui en dévoilera beaucoup plus sur l'histoire du titre, avec peut-être des explications sur les raisons qui ont poussé les démons à envahir ce monde post-apocalyptique ou encore sur ce qu'est réellement le Grand Vide. Le niveau maximum passe à 60, une nouvelle zone est ajoutée et 8 donjons sont introduits. Haru Estia en profite pour changer d'apparence et faire l'acquisition d'une seconde épée, elle garde bien sûr dans l'autre main sa mortelle épée Soulum. Les joueurs pourront choisir de conserver son apparence initiale s'ils préféraient la jeune fille timide et sage d'autrefois plutôt que la féroce guerrière mais, dans sa nouvelle forme, elle gagnera de six nouvelles compétences dévastatrices et donc son arme supplémentaire :
J'ai également eu droit à une petite visite de la nouvelle zone, Grasscover Camp, une ville dangereuse ravagée par le chaos et la destruction où se trouvent deux labyrinthes avec quatre districts et trois difficultés. Puis je suis partie en donjon, je n'ai malheureusement pas noté le nom, je m'en suis très bien sortie sans vraiment connaître les touches, juste en lançant tous les sorts dès qu'ils étaient disponibles, couplés durant les rechargements avec les sorts de base des clics gauche et droit, sans doute aidée par un personnage sur-puissant qui détruisait tout sur son passage malgré sa jupette bien peu adaptée à l'aventure.
J'ai enfin terminé mon petit tour d'horizon dans ma maison personnelle, à installer tous les meubles qui se trouvaient dans mon inventaire, pour me préparer un petit intérieur cosy dans le thème de la piraterie, avec plein de baignoires, une douche, une table et ses chaises et, bien sûr, un hamac pour faire la sieste. Rien qui ne fasse réellement partie de la prochaine mise à jour néanmoins si je ne me trompe pas !
Au final, un jeu sympathique, sans être révolutionnaire, qui a le mérite d'être gratuit et accessible, tout en étant régulièrement mis à jour par un studio bien décidé à continuer à développer son titre à un rythme mensuel.