Gamescom 2025 – Gods, Death & Reapers
Version testée : PC
Plates-formes disponibles : PC
Genre : Extraction / Hack'n'Slash
Date de sortie : NC
Studio / Editeur : WOLCEN Studio
Aujourd’hui, on voit de nombreux jeux s’essayer à l’extraction shooter. On prend par exemple Delta Force, Escape from Tarkov, ou encore récemment The Midnight Walkers qui sortira plus tard. Parfois, on retrouve un jeu qui sort du lot et essaye de nouvelles choses. Je vais parler aujourd’hui de Gods, Death & Reaper, un Hack’n’Slash avec une extraction. C’est assez osé, mais bien pensé dans l’idée. Mais une idée ne suffit pas toujours à en faire un bon jeu… Alors, comment est-ce qu’il s’en sort ? Voyons ça !


On commence par créer son personnage, qui va avancer dans une mythologie nordique dans un premier temps, mais d’autres mythologies viendront par la suite. La Mort nous explique que l’on doit rétablir la paix dans des royaumes livrés au chaos. Pour ce faire, des portails nous enverrons dans différentes zones afin de récupérer du matériel, combattre toujours plus efficacement et s’équiper pour ne pas succomber sur les champs de bataille.


Le jeu agit comme un Hack’n’Slash assez classique dans la forme, mais ses mécaniques de gameplay rappellent qu’on est vraiment sur un style à part. Déjà, notre arme va définir notre façon de jouer et on peut en changer à tout moment. Elle détermine aussi les compétences de notre personnage. Par exemple, le marteau permet de sauter et d’exploser tout dans une zone, une autre arme fait tomber un pied céleste, une autre encore déclenche un énorme coup de slash autour de soi… chaque arme possède trois compétences.
Au-delà des armes, nos bottes offrent également une compétence défensive, et un dernier équipement apporte la dernière compétence du personnage. Pour ma part, j’ai eu des bottes qui me rendaient invisible : j’attirais tout le monde avec mon marteau, puis je déclenchais ma pluie de feu pour annihiler mes ennemis. C’était vraiment intéressant de jouer ainsi. Les ennemis sont aussi particulièrement variés : chacun possède ses propres compétences, et il faut apprendre à les gérer différemment. Le tout se conclut par une extraction via un portail, en espérant ne pas se faire attaquer et tout perdre. Les longues secondes où l’on lance l’extraction sont particulièrement pénibles quand on est chargé comme une mule.
Globalement, le jeu est vraiment intéressant et l’équipe échange avec les joueurs afin de l’améliorer constamment. Le gameplay fonctionne bien, l’objectif est clair et on prend plaisir à affronter les monstres… mais soyons honnêtes : ce ne sont pas eux qui nous font vraiment peur une fois le jeu lancé.