Planet Zoo – DLC Americas Animal Pack
Version testée : PC (Steam)
Plates-formes disponibles : PC
Genre : simulation de zoo
Prix conseillé : 9,99€ (DLC)
Date de sortie : 15/04/2024
Studio / Editeur : Frontier Developments
Clé fournie par l'éditeur, merci à eux !
Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu l'occasion de jouer à Planet Zoo. Pour tout vous dire, le jeu de Frontier était même désinstallé. Pourtant, quand mi avril j'ai vu l'annonce du nouveau DLC, je n'ai pas pu résister. S'était l'occasion de s'y remettre.
Comme son nom l'indique, ce DLC ajoute des animaux, au nombre de sept, ainsi que des blocs de construction, et un scénario de campagne.
J'ai débuté par ce dernier auquel j'ai honteusement échoué, même en difficulté facile, m'étant lancée dans un grand ravalement du zoo catastrophique que je récupère. Il m'a fallu donc un second essai pour aider Dominic Myers à créer un zoo prospère au Mexique.
Le zoo a comme élément central l'enclos de Gribouille, un guépard, qu'il va notamment falloir mieux installer pour obtenir la première étoile. Il est aussi urgent d'arranger les autres animaux car, sinon, des manifestants continuent à rôder autour des installations, et ça coûte vite très (très) cher.
La seconde étoile s'inscrit dans la même lignée. Des animaux sont offerts, il faut les installer, en accueillir d'autres pour arriver à 6 espèces différentes, et s'assurer de conserver un haut niveau de service. Les recherches ne doivent pas être mises de côté, car il faut en effectuer jusqu'au niveau deux pour au minimum quatre espèces.
Ce qui m'a pris le plus de temps a été de compter sur des bénéfices annuels de 3 000$. Le zoo coûte vite très cher, et le prix des billets ne peut pas être augmenté trop rapidement, ou sinon les visiteurs ne viennent plus assez nombreux.
Enfin, la quatrième étoile, comme vous pouvez le voir, je ne l'ai pas obtenue. Former les gens n'a pas été compliqué. À peine un peu long (et au passage ça m'a fait retrouver une fonctionnalité à laquelle je ne pensais plus, mes employés n'ont jamais été formés depuis que je joue, je crois !).
Accueillir comme il faut tout le monde, et assurer un paramètre de bien-être minimum de 90% ne pose pas de réel souci. Les recherches effectuées précédemment, et qu'il faut approfondir ici pour sept espèces jusqu'au niveau 4, permettent de débloquer pas mal d'optimisations. De quoi faire de jolis habitats !
Non, ce qui m'a donné du fil à retordre, c'est de convaincre le journaliste qui vient régulièrement inspecter mon zoo. En effet, il trouve que le paramètre d'éducation est trop bas... Mais j'ai mis plusieurs passages à m'en rendre compte, car son résultat d'inspection ne s'affichait que de manière très courte, et je ne comprenais pas de quoi il retournait, dans la mesure où il m'octroyait depuis un moment 5 étoiles pour mes animaux.
Mais ce n'est qu'une question de quelques panneaux, d'une attente de quelques mois qu'il revienne, et c'est dans la poche !
Ce zoo est l'occasion parfaite d'accueillir les sept nouveaux animaux. Les chiens des buissons aiment avoir un habitant avec de l'eau, ainsi qu'un terrier, pour y dormir tranquilles, à l'abri des regards.
Le coyote est le plus grand reproducteur ! J'ai eu l'impression de passer mon temps à revendre des bébés, et à essayer de réintroduire des femelles pour éviter la consanguinité. Ils sont très simples à élever, même s'il faudra prévoir assez d'espace pour éviter la surpopulation, et sont rentables pour obtenir des points de réinsertion.
Le flamant des Caraïbes est plutôt classique, avec ses belles plumes roses qui me donnent l'impression d'être dans les marais de la Camargue. Il est aisé à combiner avec d'autres espèces, pour créer un bel effet plaine.
Le mouflon canadien est une sorte de chèvre, avec des individus très différents entre la femelle et le mâle. Ils demandent un espace assez important. Au-delà, rien à redire, il est facile, même si je n'ai pas eu beaucoup de bébés.
Le Nandou d'Amérique est une sorte d'autruche. D'après le kit de presse, ce serait le plus grand oiseau des Amériques ! J'avoue que je pensais que c'était plutôt le Condor. Quoi qu'il en soit, lui ne vole pas. Il préfère le plancher des vaches et les belles plaines herbues.
L'ocelot est magnifique. Je trouve ce félin très fin et racé. Il adore les endroits arborés et pourra utiliser les mêmes styles d'architectures d'escalade que les singes. Car oui, il faudra bien lui prévoir assez d'espace dans les airs pour le satisfaire.
Transition parfaite pour parler du dernier animal, le saki à face blanche. Il demande un environnement assez similaire à l'ocelot, avec de grands arbres, et des plateformes pour grimper.