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Planet Zoo – Pack animaux des zones humides

Le 12 avril, Frontier a rajouté du contenu sur son jeu de simulation de zoo, Planet Zoo. Le thème retenu est atypique : les zones humides. Ainsi, contrairement aux précédents ajouts de contenu, ce n'est pas une région qui est à l'honneur, mais un environnement, avec huit animaux provenant du monde entier. En complément, un zoo situé en Amérique du sud (Brésil), plus précisément dans les marais du Pantanal, avec un scénario chronométré.

 

Capybara

Notre voyage débute par l'Amérique du Sud, avec le capybara, un animal que je ne connaissais pas et qui pourtant tient la palme du plus gros rongeur du monde (il mesure jusqu'à 56 cm au garrot, pour 50 à 60 kg). Si vous regardez bien sur les captures d'écran, vous remarquerez une espèce d'embryon de corne sur son front rectangulaire. Sans surprise, il aime l'eau et nage très bien. C'est un animal gentil, aimant vivre en grandes familles, avec habituellement deux fois plus de femelles que de mâles, pour un maximum de 20 individus (ce qui amène du coup un habitat d'au minimum 1 200m², quand je vous disais qu'il était gros !).

 

 

Ornithorynque

Faut-il vraiment présenter l'animal le plus étrange de notre planète ? Je suis au contraire étonnée que l'ajout dans Planet Zoo se soit fait autant attendre ! Avec ce mammifère pas comme les autres, nous nous envolons vers les rivières et les ruisseaux d'Australie. Il ne lui faudra pas beaucoup de place, c'est un animal solitaire, même s'il tolère la présence de quelques autres individus, pour un maximum d'1 mâle et de 2 femelles (240 m² seulement à prévoir, dont la moitié au minimum à recouvrir d'eau).

 

Loutre cendrée

Visitons maintenant l'Asie du Sud-Est et centrale, et faisons-le en bonne compagnie ! Car la loutre cendrée aime vivre en groupe d'une quinzaine d'individus avec un couple dominant, et leurs petits de diverses portées. Bien sûr, après quelques générations, il faudra faire attention à la consanguinité car, dans la nature, les groupes familiaux se divisent s'ils deviennent trop grands, et se reforment autour d'individus sans liens du sang. Pour installer tout notre petit monde, comptez environ 630 m², avec 252 m² d'eau.

 

Caïman à lunettes

Le premier (et seul) animal de notre liste dans lequel il sera préférable de ne pas faire entrer les visiteurs dans l'habitat afin d'éviter les accidents ! Avec notre reptile, nous nous trouvons en Amérique centrale et du Sud. Impressionnant, avec sa large mâchoire, le caïman mesure jusqu'à 2,50 mètres de long et pèse 40 kg pour les plus vieux mâles. Solitaire, le caïman peut vivre seul. Il faudra éviter de mettre deux mâles ensemble car ils deviennent agressifs, mais rien n'empêche de rajouter jusqu'à cinq femelles. L'espace minimum est plutôt limité, seulement 330 m², dont la quasi totalité à recouvrir d'eau (290 m²).

 

Cobe de Mrs Gray

Nous retournons du côté des gentils animaux, avec cet ongulé africain, originaire des marais du Soudan du Sud et de l'Éthiopie. J'avoue que je ne le connaissais pas non plus. Comme souvent pour les animaux de ce type, la femelle n'a pas de cornes et est bien plus petite que le mâle. Ce dernier a également un pelage brun beaucoup plus foncé avec des marques blanches. Il vit en troupeaux, pouvant être composés de sous-groupes : des femelles avec leurs petits, des mâles célibataires, ou un mâle dominant et son harem. Au total, ils pourront être jusqu'à 50 individus sans aucun souci ! Enfin, si vous avez presque 30 ares à leur dédier (2 840 m² dont 535 m² d'eau).

 

Buffle sauvage d'Asie

Comme son nom l'indique, ce bovin vit... oui, en Asie, bravo ! Plus spécifiquement, il aime les marécages, les marais et les plaines inondées d'Asie centrale et d'Asie du Sud-Est (Inde, Népal, Bhoutan, Thaïlande ou Cambodge). Ses immenses cornes courbées, pouvant avoir une envergure de 2 m, sont tout autant les attributs des mâles que des femelles. Ils forment des troupeaux, souvent dirigés par des femelles, les mâles restant entre eux, ou suivant à distance en tant que mâle dominant. Il est ainsi possible de créer un enclos avec un seul mâle et une trentaine de ses dames ! Cela nécessitera quand même une belle place de 2 890 m², avec un petit lac de 310 m².

 

Grue du Japon

Même si effectivement cette grue habite au Japon, il est également possible de la retrouver dans les zones humides de l'est de la Russie, de la Chine, de la Mongolie et de la Corée. Un fait amusant, elle aime cohabiter avec le macaque japonais, un petit singe à la fourrure épaisse beige qui aime vivre dans la neige (et la grue n'a rien contre la neige, fort heureusement). Je parlais avant de grands groupes, mais la grue place la barre encore plus haut : elles peuvent être jusqu'à quatre-vingt, avec un nombre équivalent de mâles et de femelles. Il faudra par contre prévoir suffisamment d'espace car les oiseaux peuvent sinon devenir agressifs envers leurs congénères (1 485 m², dont 786 m² d'eau pour le cas maximum).

 

Triton crêté du Danube

Et je termine par le seul animal de vivarium de ce pack, le triton, un petit amphibien qui vit dans les eaux calmes, les affluents et les forêts bordant le Danube (Hongrie, Roumanie et Moldavie si comme moi vous êtes nuls en géographie). Pas grand chose à dire sur cet animal, comme toujours assez difficile à bien voir dans le vivarium.

 

Zoo de Vertefeuille

Marais oblige, l'endroit est humide, avec de larges zones couvertes d'eau et de grandes prairies verdoyantes.

Contrairement aux scénarios habituels, aucun animal n'est déjà installé. Un enclos est à peine terminé, un second possède trois des quatre côtés, et tout le reste demande à être inventé. Par contre, toutes les cinq minutes environ, des animaux sont donnés, ce qui oblige à suivre le rythme. D'autant plus que ce compteur est lié au celui du scénario, qui n'est pas arrêté lorsqu'on met le jeu en pause.

Les objectifs ne sont pas évidents à atteindre : installer 4 espèces de vivarium et 9 espèces d'habitat différentes, accueillir 1 200 visiteurs, atteindre une note d'éducation à 2.5 et une note globale de 3 et assurer des bénéfices annuels de $15 000. Sans surprise, j'ai pitoyablement échoué dans ce scénario, j'aime trop rentrer dans tous les détails de chaque habitat pour être efficace.

 

Conclusion

Qui ne voudrait pas avoir un ornithorynque dans son zoo ? Cet argument seul devrait vous convaincre à acheter en priorité ce nouveau pack de jeu si vous cherchez à acquérir des DLCs pour compléter votre Planet Zoo. Apportant sept animaux d'habitat et un de vivarium, l'un des packs les plus fournis qui soient sortis récemment. À acheter d'urgence avant d'aller faire trempette avec vos nouveaux amis des zones humides !



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