FFXIV – Le Vigile du crépuscule
En progressant dans l'épopée de Heavensward, une quête annexe de niveau 51, "L'ombre du crépuscule", vous permettra d'explorer le premier donjon de l'extension : le Vigile du Crépuscule.
Le Vigile du Crépuscule n'est pas bien compliqué : il suffit de suivre le chemin et de penser à ouvrir les coffres pour récupérer un peu d'équipement sur la route.
Après quelques ennemis, vous parvenez au premier boss, Olifant. Ce gros mammouth prendra à plusieurs reprises un joueur pour cible pour lui faire la fête. Il étourdira le joueur et lui assénera de grosses attaques. Au soigneur d'être donc très prudent.
En plus de cette particularité, Olifant utilise Cabrade, une AOE circulaire autour de lui et Trompette préhistorique, une attaque infligeant des dégâts à tout le groupe.
Le mammouth au tapis, continuez votre progression en n'oubliant pas d'ouvrir les coffres en chemin.
Après quelques coffres pillés et ennemis terrassés, vous parvenez devant le second boss du Vigile du crépuscule : Yuhelmeric Brillelame.
Vous l'aurez sans doute deviné : les cadavres dans la pièces s'animeront au fur et à mesure et seront à éliminer. Les Chevaliers gelés utiliseront Retournement, une attaque en large cône tandis que les Chirurgiens gelés se serviront de Méga-glace.
De son coté Yuhelmeric Brillelame se distinguera de part son AOE, Spirale de la mort, prenant toute la place. Restez près de lui pour l'éviter.
D'autres attaques sont au programme :
- Tumulus, une AOE en cercle autour du boss,
- Aspiration cérébrale, infligeant des dégâts à tout le groupe.
Le capitaine à terre, continuez d'avancer et d'ouvrir les coffres sur votre chemin.
Vous arrivez enfin au bout de votre périple où le dernier maître des lieux vous attend : Opinicus.
Ce combat n'est pas bien difficile : il suffit d'éviter les AOEs et de se cacher derrière les débris lorsqu'une tornade apparaîtra au milieu de l'arène.
Les débris sont régulièrement détruits et d'autres tombent pour les remplacer.
Zuh, de la CL Styx vous a concocté une vidéo du donjon :
Liste non exhaustive du butin
- Armes et main secondaire :
- PLD - GUE - CHN :
- Moine :
- Chevalier Dragon :
- Ninja :
- BRD - MCH :
- MNO - INV :
- MBL - ÉRU - AST :
- Toutes les classes :
- Matériaux :
Un peu d'histoire...
Dans le donjon vous aurez surement remarqué des feuilles de journal déchirées éparses. Si vous n'avez pas eu le temps de les lire, les voici. Le vigile du Crépuscule vous semblera encore plus glacial après cette lecture....
Alors qu'un déluge de roches et de flammes s'abat sur nous, moi, Pascaleret de Neurtaille, je tiens à consigner sur ces pages ce qui sera probablement mes derniers mots. Le cataclysme qui rugit dehors annonce assurément la fin de notre monde. Mes hommes crient que le septième fléau est arrivé.
Celui qui lira ces lignes saura sans doute qu'ils ont raison...Par ordre du capitaine Yuhelmeric, j'ai fait inspecter notre forteresse et je dois dire que les mots me manquent pour décrire la situation. Les remparts qui faisaient notre fierté ont été complètement détruits. Nombreux sont ceux qui désirent retourner à la sainte Cité, mais le capitaine a décidé que nous devions défendre le bastion jusqu'à la mort. Quoi de plus normal après tout, puisque le Vigile du crépuscule est le bouclier d'Ishgard ?
J'ai passé plusieurs heures à déblayer les décombres à la recherche de camarades survivants, mais seule une poignée de mes hommes a survécu. Ils souffrent beaucoup de la vague de froid qui accable depuis quelques jours.
Malgré la saison, nous observons des chutes de neiges jamais enregistrées dans notre contrée. Nous sommes bléssés, pétrifiés, affamés... et nous attendons avec impatience des ravitaillements de la capitale.Le froid, la faim et l'isolement ont amené certains d'entre nous à la mutinerie. Tout a commencé lorsque le soldat logisticien, conscient que nos réserves de nourriture sont quasiment épuisées, a conseillé au capitaine Yuhelmeric de laisser les hommes rentrer à Ishgard.
Bien sûr, celui-ci a refusé. Les affrontement qui ont suivi ont coûté la vie à de nombreux hommes, mais j'ai peine à l'avouer, ils nous ont également fourni une viande salvatrice...J'ai pêché. Oui, je n'ai plus peur de l'avoir, de l'écrire ici et probablement de damner mon nom pour nombre de générations. J'ai commis l'impensable, mais c'était le seul moyen de survivre... Je me dois rester en vie pour retourner auprès des miens.
Mais je ne sais plus si je suis vraiment vivant... Mes camarades défunts... Ils marchent... Je les ai pourtant vus mourir de mes propres yeux... Pourquoi ? ...